Acheter une voiture, une décision difficile
Dans ce contexte perturbant et perturbé, au plan économique et financier, la prise de décision d’acheter ou non une automobile ne va pas de soi. Près de 6 personnes sur 10 déclarent qu’elle est difficile, voire très difficile (Fig. 4). Tout particulièrement en Turquie où près de 8 personnes sur 10 sont plongées dans l’expectative. Les Portugais et les Belges sont ensuite les plus nombreux à se retrouver dans la même situation.
En revanche, c’est, de loin, en Chine où l’on se fait le moins de nœuds au cerveau avec les trois quarts des automobilistes qui placent cette prise de décision d’achat sous le sceau de la facilité. Les U.S.A, la Norvège et le Royaume-Uni rassemblent également une majorité pour partager cette conviction. Mais dans de nombreux pays, cette prise de décision est difficile.
Au-delà du facteur prix qui reste le principal élément dans cette décision d’achat, cette nouvelle édition de l’Observatoire Cetelem s’attache à identifier les raisons qui peuvent maintenir les automobilistes dans le flou et les rendre hésitants, voire sceptiques quant au bien-fondé d’acquérir une nouvelle voiture.
L’essentiel
