Partie 1 - Ma voiture - toujours - bien-aimée
Transports en commun : l’alternative des jeunes et des urbains
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Pour beaucoup, l’alternative au déplacement automobile réside dans la possibilité de prendre les transports en commun (Fig. 9). Deux tiers des personnes interrogées estiment que leur réseau est suffisamment développé autour de leur domicile, les Chinois, les Néerlandais et les Britanniques étant les plus nombreux (86 %, 80 % et 78 %).
Cette satisfaction envers le réseau de transport en commun se teinte d’une double tonalité urbaine et générationnelle. Dans les grandes métropoles, certains résultats sont plébiscitaires comme en Pologne (100 % !), en Allemagne, en Chine et au Japon (96 %, 96 %, 95 %). Avec 92 %, les Français des villes jugent aussi positivement leur réseau de transports en commun. Les millennials, sauf en Turquie, apprécient son développement. En Afrique du Sud, cette approbation de la jeunesse est significativement la plus forte : 65 % contre seulement 12 % pour les seniors.
Cette satisfaction envers le réseau de transport en commun se teinte d’une double tonalité urbaine et générationnelle. Dans les grandes métropoles, certains résultats sont plébiscitaires comme en Pologne (100 % !), en Allemagne, en Chine et au Japon (96 %, 96 %, 95 %). Avec 92 %, les Français des villes jugent aussi positivement leur réseau de transports en commun. Les millennials, sauf en Turquie, apprécient son développement. En Afrique du Sud, cette approbation de la jeunesse est significativement la plus forte : 65 % contre seulement 12 % pour les seniors.
FIG. 9 :
Sous-Partie 2
Posséder une voiture : raisons et sentiments
Au-delà de cet «amour» de l’automobile, diverses raisons, mêlant pragmatisme et idéalisme, invitent à en faire l’acquisition (Fig. 5 et 6).
Pour 39% des personnes interrogées, une voiture e
Sous-Partie 4
Une voiture sérieusement idéale
Alors oui, on aime sa voiture, oui elle est porteuse de valeurs comme la liberté, oui on y est très attaché. Et oui la voiture idéale existe. Seulement 8 % des personnes interrogées pensent le co