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Partie 1 - Le mystère de la voiture électrique

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2 minutes de lecture
En matière de mobilité, le véhicule électrique présente de nombreux atouts. Au plan économique, sous certaines conditions, et à un horizon relativement proche, nul doute qu’il aura des arguments à faire valoir. Mais l’achat d’un véhicule n’est pas qu’affaire de rationalité. La force de l’habitude, les goûts, les perceptions et attitudes, nombre de critères émotionnels et donc subjectifs entrent en ligne de compte au moment du choix.

Véritable rupture technologique, le véhicule électrique s’impose peu à peu dans le paysage automobile. Et son fonctionnement reposant sur un tandem moteur électrique/batterie décliné en réalité en trois versions par leur chaîne de traction (tout électrique, hybride rechargeable ou à prolongateur d’autonomie) ne semble pas être un secret aux yeux des automobilistes.

Une connaissance satisfaisante

69 % déclarent connaître le VE et savoir comment il fonctionne.

 

 

De façon surprenante, Norvège et Chine, pionniers du VE, n’intègrent pas la plus forte proportion d’automobilistes connaisseurs, Pologne, Turquie et Italie constituant le trio de tête en ce domaine.

Des informations qui font défaut

Mais connaître ne signifie pas savoir. 70 % des répondants déclarent ne pas disposer de suffisamment d’informations.

 

 

Ce manque d’informations culmine même à 83 % au Japon, pays des constructeurs Nissan et Toyota, très présents sur le marché du VE et de l’hybride. L’apport d’informations tous azimuts concernant les performances réelles du véhicule électrique, l’existence d’aides publiques à l’achat et les retours d’expérience des premiers utilisateurs seront de nature à faire évoluer la perception du véhicule électrique.

Sous-Partie 6
Une compétitivité relative
Avec ses spécificités, le VE peut techniquement convenir aux usages d’un grand nombre d’automobilistes. Pour être définitivement adopté, il lui reste un cap ultime à franchir : celui de la c
Sous-Partie 8
Une maturité écologique
Si, pour l’instant, l’argument économique n’est pas à 100 % en faveur du VE, son impact positif sur la qualité de l’air pourrait peut-être faire pencher la balance. Près de 90 % des répo