La voiture, encore et toujours
Toujours indispensable
Lorsqu’ils se projettent sur les dix prochaines années, les Européens n’anticipent pas de révolution quant à la place de l’automobile dans nos sociétés : pour les trois quarts d’entre eux, elle conservera une place au moins aussi importante qu’aujourd’hui. Néanmoins, un quart d’entre eux s’attendent à une érosion de sa place : ils sont plus nombreux à le penser en Italie (37 %), en Turquie (34 %) et au Portugal (28 %).
Les femmes encore plus optimistes
Les Européennes sont moins nombreuses que les hommes à envisager un effritement de la place de l’automobile, en particulier les Allemandes (82 %), les Espagnoles (82 %), les Belges (81 %) et les Portugaises (74 %).