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Partie 2 - Une relation dont on ne peut se passer

Un secteur économique qui a du poids

2 minutes de lecture
« L’attachement » à l’automobile prend une tonalité encore plus pragmatique, voire essentielle, si l’on considère le poids économique du secteur dans presque tous les pays de l’Observatoire Cetelem. Il se mesure bien sûr en nombre de véhicules vendus, face visible de l’iceberg pour les consommateurs-automobilistes. Mais plus largement, au-delà de la production dans les usines d’assemblage, le secteur automobile prend toute sa dimension quand on considère aussi l’ensemble des sous-traitants des constructeurs, tant la chaîne amont que la chaîne aval qui intègre la vente, la réparation, la location…

 

Fig. 26 / Contexte :

 

Il est de coutume de dire, quand le bâtiment va, tout va. On serait tenté de paraphraser en ajoutant que quand l’automobile roule, tout roule. Pour la seule Union européenne, le secteur représente 8,5 % de la production industrielle globale, soit 2,7 millions d’emplois directs. Tous les pays européens de l’Observatoire Cetelem sont concernés par cette présence industrielle, de même que ceux situés dans le reste du monde. C’est dire le poids économique de l’automobile et surtout les conséquences sociales et humaines qu’une crise telle celle que nous connaissons implique.

 

Fig. 27 / Contexte :

 

Fig. 28 / Contexte :

Sous-Partie 6
Indispensable, surtout au quotidien
Malgré toutes les critiques dont elle peut faire l’objet, malgré un relatif désamour qui semble gagner les automobilistes, malgré un contexte économique et environnemental qui laisse pointer de
Sous-Partie 8
Une valeur refuge
Si les seules valeurs d’usage et économique pourraient justifier la difficulté à se passer de l’automobile, la crise sanitaire en a souligné d’autres qui renforcent cette impression. Dans lâ

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Marché automobile
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