Observer, éclairer et décrypter l'évolution des modes
de consommation en France et à l'international
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Partie 5 - Conclusion

Epilogue

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Depuis l’invention du premier moyen d’échange, le coquillage, à des fins de paiement, l’acte d’achat et donc la consommation font objet de débats, de polémiques et de remises en cause incessantes. Ce nouvel Observatoire Cetelem, qui lui est consacré n’est pas près de les éteindre.

Comme nous le disent les Européens, la consommation est naturellement sujette aux contradictions, entre attraction et répulsion, fierté et honte, envies et contraintes. Pourtant, il n’en demeure pas moins surprenant qu’ils continuent à l’associer au plaisir et au bien-être. Il est tout aussi étonnant qu’ils se considèrent maîtres de leurs choix et de leur gestion, malgré un contexte économique défavorable, particulièrement ces dernières années.

Si la consommation n’est probablement plus, en Europe du moins, cet outil de valorisation et de mise en avant de la réussite personnelle qu’il incarnait auparavant, elle est appelée à évoluer, lentement mais sûrement. Elle s’accorde ainsi à l’air du temps et aussi aux impératifs liés à l’avenir de la planète et à des progrès technologiques prométhéens. Il est difficile de parier sur une moindre consommation, mais plutôt sur une consommation différente au sein de laquelle les services vont s’épanouir. À cet égard, la confrontation économique et technologique qui va prendre de l’ampleur entre les deux grandes puissances mondiales, Chine et États-Unis, dans un proche avenir, assure que leur place sera toujours plus importante. 

Sous-Partie 12
Évolution de la consommation : l’exemple français
Un modèle économétrique de projection de consommation par poste – coefficients budgétaires – par effets âge – génération – revenus vise à expliquer la répartition des
Fin de l'étude
Consommer en Europe : le plaisir fait de la résistance